Nous descendons à Krefeld, pour rejoindre le Stalag VI J. Je ne suis pas mis avec les disciplinaires, mais l’espoir est de courte durée car je rejoins le Kommando disciplinaire. Nous déchargeons des wagons, de coke, de manganèse et autres minéraux. Je retrouve des amis des camps disciplinaires de Pologne. La vie est infernale ici, on projette de s’évader pour ne pas mourir au travail. A la fin, j’étais si fatigué que je ne rejoignais plus la cave lors des bombardements, je restais dans mon lit pour essayer de dormir.