La désertification croissante du Sahara réduit de façon considérable l’aire de répartition naturelle de ce conifère, endémique du Sud-Est Algérien. Son statut est passé « en danger » en 2012 sur la liste rouge de l’UICN (Union internationale pour la Conservation de la Nature).
Le faible effectif (233 en 2001) et l’isolement des individus ont amené à une apomixie : la graine hérite uniquement des gènes du père. Cela entraine la diminution du pool génétique de l’espèce, compliquant les essais de conservation.