Jouxtant le Parc de la Bouzaize, ces 6500 m2 récemment réaménagés dans le respect de l'environnement sont avant tout dédiés à la détente et au bien être. Ce jardin totalement pionnier dans son concept invite les promeneurs à découvrir la nature en déambulant sur des cheminements surélevés afin d'en préserver la flore et la faune. Aires de repos, zones de pique-nique, halte véloroute réalisés avec des matériaux naturels et novateurs s'offrent aux visiteurs en quête de douceur et de quiétude.
Une vraie proximité
Le paysagiste Vincent Mayot a su tirer le meilleur parti de cette espèce de friche en intervenant modestement. Pas de plantations nouvelles, peu d'équipements, juste quelques sièges. Il s'est en fait pratiquement contenté de faire des chemins, pour nous permettre de sillonner en tous sens au milieu des arbres. Pas n'importe quels chemins. Mais des chemins 'suspendus' au-dessus du sol, en bois ou en métal, ce qui a un double effet : ne pas tasser le sol, respect du milieu naturel oblige, et nous donner un léger vertige dû à l'altitude (cela reste très raisonnable).
Une exposition in situ
Et puis des pauses, proposées très explicitement par quelques accoudoirs pour observer les insectes dans le tapis de lierre, le balancement d'une graminée, ou plus simplement le jeu de l'ombre et de la lumière à travers les feuilles des arbres. Observer et contempler pour se rapprocher de cette nature que nous avons abandonnée depuis notre déménagement en ville, mais qui nous manquent tellement.
Petite touche japonaise
Un chemin en 'pas japonais', des petits salons pour ouvrir un sac de pique-nique contenant de préférence quelques sushis et saké, prendre le temps de composer un haïku en hommage à la sauterelle, ou simplement prendre le soleil dans une clairière.
Un imaginaire suggéré
Pour cela l'écrivain Michel Tournier est invoqué comme interprète de cette nature espérée. Une citation de ce poète accueille les visiteurs sur un monument (peut-être ostentatoire ?) en acier patiné. Quelques mots soufflés pour exciter notre attention...
Une vraie proximité
Le paysagiste Vincent Mayot a su tirer le meilleur parti de cette espèce de friche en intervenant modestement. Pas de plantations nouvelles, peu d'équipements, juste quelques sièges. Il s'est en fait pratiquement contenté de faire des chemins, pour nous permettre de sillonner en tous sens au milieu des arbres. Pas n'importe quels chemins. Mais des chemins 'suspendus' au-dessus du sol, en bois ou en métal, ce qui a un double effet : ne pas tasser le sol, respect du milieu naturel oblige, et nous donner un léger vertige dû à l'altitude (cela reste très raisonnable).
Une exposition in situ
Et puis des pauses, proposées très explicitement par quelques accoudoirs pour observer les insectes dans le tapis de lierre, le balancement d'une graminée, ou plus simplement le jeu de l'ombre et de la lumière à travers les feuilles des arbres. Observer et contempler pour se rapprocher de cette nature que nous avons abandonnée depuis notre déménagement en ville, mais qui nous manquent tellement.
Petite touche japonaise
Un chemin en 'pas japonais', des petits salons pour ouvrir un sac de pique-nique contenant de préférence quelques sushis et saké, prendre le temps de composer un haïku en hommage à la sauterelle, ou simplement prendre le soleil dans une clairière.
Un imaginaire suggéré
Pour cela l'écrivain Michel Tournier est invoqué comme interprète de cette nature espérée. Une citation de ce poète accueille les visiteurs sur un monument (peut-être ostentatoire ?) en acier patiné. Quelques mots soufflés pour exciter notre attention...